Le goût des pépins de pomme..

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Katharina Hagena
Le Goût des pépins de pomme

A la mort de Bertha, ses trois filles et sa petite fille, Iris, la narratrice, se retrouvent
dans leur maison de famille, à Boostshaven, dans le nord de l'Allemagne, pour la lecture du testament.
A sa grande surprise, Iris hérite de la maison. Bibliothécaire à Fribourg, elle n'envisage pas, dans
un premier temps, de la conserver. Mais, à mesure qu'elle redécouvre chaque pièce, chaque
parcelle du merveilleux jardin, ses souvenirs font resurgir l'histoire émouvante et tragique de
trois générations de femmes. Un grand roman sur le souvenir et l'oubli.

Merci Noune !

J'en ai entendu parler, mon aînée va au solfège ce soir, qui est justement à côté de la bibliothèque municipale, et elle va demander s'ils l'ont, je te dirai ce que j'en ai pensé lorsque je l'aurai lu !!
Biz, Gargamelle

Alors ça y'est, je suis en train de le lire, je reconnais que j'ai eu un peu de mal à rentrer dans l'histoire, mais les descriptions sont longues peut-être un peu de trop, et je crois bien que plus d'une fois, j'ai failli décrocher, mais là, j'ai passé le cap, j'espère l'avoir fini la semaine prochaine, et après on en parle promis, Biiizzz, Gargamelle

Iris la plus jeune d'une famille de trois filles hérite de la maison familiale du nord de l'Allemagne, a la mort de sa grand mère Bertha. L'enterrement est pour elle l'occasion de retrouver sa mère et ses deux tantes mais aussi les lieux de son enfance et de son adolescence.
Comme je l'ai écrit plus haut, j'ai trouvé l'histoire longue à démarrer, voir même trop longue à démarrer.
Les descriptions n'en finissent jamais, et on attend que l'histoire démarre, mais en fait, on reste sur notre faim....
A un moment donné, je pensais que ça allait démarrer, après l'histoire du poulailler, mais non, mes illusions sont retombées...
Je l'ai lu jusqu'au bout, parce que j'ai forcé, je ne voulais pas rester sur une mauvaise impression, mais je ne regrette pas de ne pas l'avoir acheté....
Désolée d'être aussi directe, mais quelququefois, on n'accroche pas au wagon, et là c'est le cas...